Encouragé par les savants travaux de Rémi sur son site ingénéalogie je me décide à publier plus modestement une représentation géographique de l’ascendance de ma fille, qui est le de cujus de mes recherches généalogiques.
En vert les départements de mes propres ancêtres, en rose ceux de mon épouse. Les nuances de ces couleurs sont plus foncées pour les départements où les ancêtres sont nombreux, ce qui correspond aux départements natals de nos grands-parents respectifs.
J’ai ajouté des lettres avec les mêmes conventions de couleur pour les pays étrangers où j’ai trouvé des origines. Je me permets de rappeler les codes numériques des départements concernés :
06 Alpes-Maritimes | 67 Bas-Rhin |
12 Aveyron | 68 Haut-Rhin |
13 Bouches-du-Rhône | 69 Rhône |
25 Doubs | 70 Haute-Saône |
30 Gard | 71 Saône-et-Loire |
34 Hérault | 83 Var |
63 Puy-de-Dôme | 90 Territoire de Belfort |
La conclusion qui s’impose est bien sûr la pédominance des quarts sud-est et nord-est, tout comme le fait qu’avant 1660 les trois quarts de mes ancêtres n’étaient pas français…
La confection de cette carte m’a amené d’ailleurs à apprécier à leur juste valeur les calculs de pourcentage pratiqués par l’ingénéalogiste : la représentation que j’ai adoptée est en effet loin de rendre un compte exact de la réalité : une seule aïeule née au XVIème siècle dans les Bouches-du-Rhône, alors que mes ancêtres du Gard sont beaucoup plus nombreux, tout comme les anabaptistes suisses chassés du canton de Berne au XVIIème et venus s’installer dans le Bas-Rhin. Bref, ce n’est, je l’espère, qu’un début.
5 réponses à “La carte des ancêtres”