Un petit poème, trouvé dans La Brise du Soir, un journal de Montpellier du 7 février 1891. Bien sûr, ce n’est pas du Verlaine, quoiqu’on pense immanquablement au Pauvre Lélian en raison du sujet:
L’auteur de cet hommage à la Fée Verte n’est guère connu, mais le nom qu’il se donne est le palindrome d’un patronyme fréquent dans le sud-ouest.