Dès les années 1870 la flotte de guerre américaine accoste régulièrement à Villefranche-sur-Mer, où elle finit par avoir des installations permanentes. Les marins de ses équipages en profitent pour descendre à terre afin de satisfaire certains besoins, parmi lesquels la soif n’est pas le moindre. Il s’ensuit qu’une fois abreuvés et assommés par l’alcool ils sont à la merci des tireurs de bourse qui vont les détrousser.
On lit ainsi dans Le Petit Niçois du samedi 21 mai 1881 :
et, dès le numéro du lendemain :