En ce temps-là on n’aimait déjà pas le bruit, la différence avec notre époque est que les autorités cherchaient à en protéger les honnêtes gens. On peut le constater dans un article du Petit Niçois paru le 19 octobre 1882, un article parmi beaucoup d’autres sur ce sujet :
« Tapageurs. – Hier soir, vers onze heures, deux braillards, qui paraissaient pris de vin, ont fait un tel tapage dans la rue Masséna qu’ils ont éveillé les paisibles dormeurs de ce quartier. Un rassemblement s’est formé autour des deux individus ; les agents de police sont accourus et en ont arrêté un ; le second a pu prendre la fuite. »