Un article du Petit Niçois paru le 16 octobre 1884 vient compléter la vue qu’on peut avoir de la psychiatrie dans ces années-là :
« Suicide d’un fou. — Un pensionnaire de l’hôpital de St-Pons, employé à faucher des herbes dans les dépendances de cet établissement, s’est donné la mort, avant-hier, en se tranchant la carotide à l’aide d’une faucille. »
Ce malheureux avait-il déjà manifesté des tendances au suicide ? De toute façon il n’était guère prudent de lui confier une faucille.